• a répondu au sujet Présentation des jeux auxquels vous jouez (en ce moment !) dans le forum Le forum des blablablas ! posté il y a 5 years  4 months

    Bon , il va falloir que je vous dises c’est ou Dijon ? Bon , ok !

    Dijon est à l’est de la france et à l’ouest du Jura entre Nancy et Lyon . C’est bon ?!!!

    Dis par une fille de 10 ans qui sais mieux qu’un homme de 35 ans et d’autres des 12 ans 15 ans …

    xDDD suffisais de chercher … et d’avoir une mémoire un cerveau et hop sa va tous seul , mais bon , ah oui , j’avais oublier que vous en avez pas . Oups … désolée .

    • Je savais ou c’était.
      Et je vois pas ou ça te mène d’être aussi arrogante.

      • Toi non plus …

        • oké

          • c’est vrai que tu troll pas mal sarsar, du calme du calme, mais bon c’est déjà bien que t’ai cherché par toi même, maintenant dit le avec un peu moins d’arrogance à toute petits faineants qui ne l’ont pas fait ;p

            • Si tu veux que je le fasse sans arrogance , tu devrais ma dire sa veut dire quoi ! Non mais tru croix que je sais se que sa veut dire , tu aurai pu me le dire , enfin admin !

              • L’orgueil (superbia en latin) est une opinion très avantageuse, le plus souvent exagérée, qu’on a de sa valeur personnelle aux dépens de la considération due à autrui, à la différence de la fiertén 1 qui n’a nul besoin de se mesurer à l’autre ni de le rabaisser.

                C’est un manque ou une absence d’humilité, et selon le philosophe Théophraste, le mépris de tout, sauf de soi-même1.

                Dans la religion catholique, il désigne un péché capital, celui qui donne le sentiment d’être plus important et plus méritant que les autres, de ne rien devoir à personne, ce qui se traduit par un mépris pour les autres et le reste de la création et un rejet de la révélation et de la miséricorde divines.

                À l’inverse, l’orgueil peut également être perçu par d’autres référentiels culturels ou civilisationnels comme une vertu ou un idéal. À cet égard, on peut citer le code du bushido, qui sous tend l’organisation du Japon féodal particulièrement durant l’ère Edo, et qui exalte « L’orgueil qui doit être sorti de son fourreau, comme une bonne lame, pour qu’elle ne rouille pas » (Hagakure, Jōchō Yamamoto). De même, en Europe, la période romantique voit une forme de fascination artistique et littéraire pour l’orgueil et de la révolte qu’il peut entraîner, comme le note Albert Camus dans ses analyses (dans L’Homme révolté notamment).