Le bar des petits écrivains et des lecteurs

This topic contains 563 réponses, has 42 voix, and was last updated by Avatar de Laughing Jack Laughing-Jack Il y a 5 years, 2 months.

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  • #10784
    Avatar de Butters
    noisette
    Participant

    A bientôt la suite! ^^

    Pour ma part, je poste le prologue de mon histoire voyons si les spoiler marchent…

    [spoiler] Marche? ou pas? [/spoiler]

    S’ils marchent pas ben tant pis =P

    #10831
    Avatar de adamz
    adamz
    Participant

    J’ai corrigé les p tites fautes d’ortho ^^
    Bon… pour le moment j’en suis que à la première page, mais bon… C’est déjà ça…

    #10841
    Avatar de hiboou
    Anonyme

    Il est bien mon texte ? x)))

    #10846
    Avatar de Butters
    noisette
    Participant

    Je l’ai ajouté au récap, hibou, mais j’ai pas bien compris, c’est l’oeuf qui parle à la fin? x)

    #10848
    Avatar de hiboou
    Anonyme

    Oui quand j’ai ecris
    Oeuf du frigo : patatipatttatahdkzsja

    XD et justement le but ce ke ce soit chelou x)

    #10853
    Avatar de Butters
    noisette
    Participant

    Lol OK XD

    #10870
    Avatar de hiboou
    Anonyme

    Je sais j’avais pas d’idée x)

    #10892
    Avatar de Butters
    noisette
    Participant

    T’inquiète, on est là pour faire marcher l’imagination =3

    Bon moi je poste mon prologue. Ce n’est pas du boys romance comme le penseront certains e.e Bon peut être un peu mais pas trop =D Et les “il” sont faits exprès ^^
    Bonne lecture!

    Prologue

    «  Ne t’en fais pas, souffla Kenneth à l’oreille de son camarade, blotti près de lui, soupirant de la buée dans l’air glacé. Je suis là.
    Cela fait déjà un bout de temps que ces deux jeunes hommes se trouvent dans une prison noire, dans les bois, en plein hiver. Exilés, seuls. Ils ne savent pas depuis combien de temps ils y resteront mais espèrent d’en sortir. Normal quand on est enfermé. Chaque jour, ils ne reçoivent qu’un vulgaire plateau repas à moitié froid, nourris comme des chiens. Ils étaient menottés à leur prison par leurs chevilles, les empêchant de quitter leur cage. Ils en souffraient. Faibles. Vulnérables. En colère. Désespérés… Kenneth et Jack ne tiennent pas leurs amis pour responsables, non…. Celui-ci dévisagea son camarade, assis près de lui, qui tentait désespérément de se réchauffer en expirant de l’air chaud sur ses mains, qu’il frottait l’une contre l’autre, malgré qu’il sache pertinemment que ce geste ne servait à rien. Il était désespéré : personne ne savait où ils étaient. La tête enfouie entre ses mains, les genoux ramenés vers sa poitrine, Jack laissa couler ses larmes de désespoir, son cœur battait fort et vite dans sa cage. Kenneth sursauta un peu, observa son ami et détourna le regard. Il se leva, brusquement.
    - Jack, on peut plus continuer comme ça, dit-il, l’air pensif.
    Les yeux brouillés, Jack croisa le regard de Kenneth. Celui-ci était déterminé, brillant.
    - Il nous a assez malmenés comme ça. En plus, tu n’y es pour rien. C’est moi qu’il veut. Cet abruti…
    Il déglutit, tandis qu’il entendait Jack hoqueter, en larmes. Celui-ci avait de nombreux hématomes partout sur son corps, ainsi qu’un cocard à l’œil. Ses cheveux aussi éclatants que le soleil étaient sales et grisés par la poussière de roche qui leur tombait du plafond, tandis que ses grands yeux bleus ciel avaient perdu tout leur éclat. Kenneth passa une main sur sa nuque, s’accroupit et sécha les larmes de son compagnon. Il lui adressa un magnifique sourire d’espoir, saisit le menton de son camarade entre son index et son pouce et lui chuchota :
    - Sortons d’ici, Jack….
    - Si on sort, qui sait ce qui nous attend… ?
    - Arrête de penser comme ça. Arrête de pleurer, tu te rends compte qu’il est passé pour nous libérer ? Tu sais que s’il revient, nous allons y passer. Alors autant mourir en liberté qu’en captivité.
    - Je ne veux pas, je ne peux pas. Laisse moi où je suis, je ne suis qu’un poids pour le monde.
    Kenneth dévisagea longuement son camarade avant de le prendre dans ses bras.
    - Je ne te laisserai jamais tomber, rassura-t-il en pressant le bras de son ami.
    - C’est bien ça le problème…
    - …Tu es mon meilleur ami. Mon frère. Comment pourrais-je?
    - Laisse moi tranquille.
    Kenneth n’insista pas plus. Il se recula, releva son ami d’un geste sec, le tirant par le col. Ensuite, il saisit fermement sa main moite glacée, et poussa la porte de métal rouillé. Ils se retrouvèrent dans un bois de sapin, en hauteur, en pleine nuit. Le vent glacial de la saison faisait vaciller les branches de ces arbres qui ne perdent pas leurs épines. La neige recouvrait une bonne partie du chemin : ils ne pouvaient se repérer. Kenneth se retourna, et vit que Jack fixait quelque chose scotché à la porte : il l’arracha et put y lire « Impurs ». Furieux, Kenneth l’écrasa contre ses paumes et le jeta à terre. Il regarda son ami, qui était aussi squelettique que lui. La pâleur de son visage ressortait à la faible lueur qu’émettait le satellite de la Terre camouflé par les nombreux nuages. La buée glacée s’échappaient de leurs bouches asséchées et de leurs lèvres gercées. Kenneth prit une grande bouffée d’air frais en essayant de chasser ses craintes et ses peurs afin que son camarade soit rassuré. Le jeune homme serra la main de son compagnon, et commencèrent à courir dans les bois, ne sachant pas quelle direction prendre.
    -Ne t’en fais pas, souffla Kenneth. Je suis là…

    #10958
    Avatar de adamz
    adamz
    Participant

    Et beh… Bravo, il est super… ^^p

    #10970
    Avatar de Butters
    noisette
    Participant

    Thanks, mais le tien aussi! Nos histoires sont de styles différents mais j’adore le suspense qu’il y a dans l’histoire avec Isatis!

    #10976
    Avatar de hiboou
    Anonyme

    Trop fraais comment j’aimerais trooop savoir faire des textes aussi bien *_____*

    #10978
    Avatar de Mephistot
    Mephistot
    Keymaster

    Arghhh non pas cette expression toute pourrie >.<
    Sinon vos textes sont bien… même si j’avoue que j'ai pas tout lus… :)

    #10980
    Avatar de hiboou
    Anonyme

    Quelle expression ? Bon moi je vais sur mine :D

    #10986
    Avatar de Butters
    noisette
    Participant

    Lol thanks x)

    #10998
    Avatar de adamz
    adamz
    Participant

    Voilà le prologue : (je l ai mis depuis le début)
    :wink:

    Après s’être repentie de sa mésaventure, Isatis, qui en avait le cœur battant à pleine vitesse, se résolut à aller voir son père et sa tante pour leur relater ce qui s’était produit… la peur au ventre.
    Quelques minutes plus tôt, Isatis avait été la seule témoin d’un meurtre : un homme, vêtu d’une longue cape noire dentelée, avait froidement assassiné quelqu’un. Il lui avait soufflé la vie d’un seul coup de poignard, sec, rapide et tranchant. Il n’avait pas eu la moindre hésitation ou la moindre peine. Il ne tremblait guère. De cette homme, Isatis n’avait remarqué que deux choses : sa cape, et son poignard dont le manche était entouré d’un serpent vert émeraude. Elle avait pu entrevoir ce détail grâce à sa vue aiguisée. Elle n’avait pas aperçu son visage car l’assassin était de dos, mais elle avait quand même pu voir qu’il s’agissait d’un homme grâce à sa morphologie masculine. Le meurtrier en question n’avait pas remarqué cette dernière, qui se trouvait derrière un mur en ruines . Dès que l’homme mystérieux reprit son chemin, Isatis tomba en sanglots. Non parce qu’elle avait pitié de la personne qui était morte, elle se souciait d’ailleurs peu de cette dernière, qui maintenant n’était plus qu’un corps sans vie, mais elle pleurait sans bruit, de peur que l’homme revienne et qu’il la trouve. Elle courut sans s’arrêter et sans prendre la peine de reprendre son souffle jusqu’à son village natal où elle vivait avec son père et sa tante. Elle leur détailla, leur expliqua et n’omit aucun fait et aucun acte. Quand elle eut terminé, les questions fusèrent :
    Es-tu sûre de tes descriptions concernant les accessoires du meurtrier, questionna sa tante.
    Isatis qui ne voyait pas l’utilité de cette question et qui ne pensait pas que les accessoires importaient de quelconque manière répondit quand même :
    Oui.
    Son père enchaîna :
    J’ai bien peur qu’il soit revenu… Il s’arrêta un moment, puis reprit : Écoute Isatis, il faut
    absolument que tu partes, ou plutôt… que tu fuies, car hélas, nous n’avons pas le temps. Pas le temps pour achever ce que nous avons commencé. Nous, non, mais toi, si. Va vers le Nord jusqu’à Laomël. Quand tu arriveras à destination, tu demanderas Chêne, c’est un vieil ami. Il t’apprendra à te défendre, car tu es en danger. C’est un homme de guerre de très grande renommée, et il a de l’expérience. Je n’ai pas le temps de t’expliquer le pourquoi… Chêne s’en chargera lui même. Emporte quelques provisions. Six dunes suffiront, à mon avis, pour une chambre correcte. Je te les donne. Emporte également tout ton argent, et prend quelques-uns de tes habits…
    Son père avait les larmes aux yeux, sa tante comprenant qu’il était dans l’incapacité de parler enchaîna :
    J’espère que nous nous reverrons… Mais, on ne sait trop ce que nous réserve l’avenir, alors,
    prends ça, ta mère me l’a donné avant de partir…
    Elle chercha au fond de la poche de son manteau, puis, elle tendit un paquet, enveloppé d’un tissu vert émeraude. Isatis le prit, puis l’ouvrit. Elle écarquilla les yeux, dans ce paquet, se trouvait une ophalia. Une ophalia était une pierre bleue, d’une immense rareté, et d’une immense valeur, qui augmentait la puissance, la finesse, la précision des armes. Certaines légendes disaient même que si la personne qui la possédait avait le cœur pur, cette pierre pouvait lui sauver la vie. Les yeux d’Isatis brillaient autant que la pierre. Elle n’avait vu une ophalia qu’une seule fois, lorsque les chevaliers du roi s’étaient déplacés pour une mission dite secrète, sur l’arme d’un jeune chevalier, à la tête du groupe. Il n’en existait dans le monde qu’environ une vingtaine !
    C’est pour moi ?
    Oui, répondit son père en souriant.
    J’espère vraiment que l’on se reverra… du fond du cœur, souffla sa tante.
    Isatis acquiesça. Elle eut une pensée pour ses amis, qu’elle ne reverrait probablement plus. Elle eut une pensée pour tous les paysages qu’elle ne pourrait sûrement plus contempler. Elle eut une pensée pour toutes ces petites ruelles où elle risquerait de ne plus passer. Elle eut une pensée pour toute les choses qu’elle ne pourrait plus faire. Un sentiment de mélancolie s’empara d’elle. Elle essaya de se consoler en se disant que tout n’était pas forcement fini, et que la fin d’une chose était toujours le début d’une autre… Elle alla dans sa chambre afin de préparer ses affaires. Lorsqu’elle eut terminé, elle pleura doucement. Elle contempla son ophalia qui scintillait, puis mit ses treize dunes dans sa poche.
    Il faudra que tu partes de nuit, Isatis
    Elle se blottit près de son père, et versa quelques larmes sur lui.
    Moi aussi, tu vas me manquer, dit ce dernier en essuyant ses larmes.
    Adieu… Isatis, tu seras toujours auprès de moi, dans mon cœur. La vie est trop courte et du coup si précieuse… alors, profites-en, du mieux que tu peux.
    Lorsque Isatis franchit le seuil de la porte, elle entendit un cri… Puis elle se mit à courir.

    J’espère que ça vous aura plu… En attendant, j’écris la suite… (Le chapître 1)

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